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MessagePosté: Sam 04 Avr 2009 - 16:37 
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Inscription: Ven 10 Déc 2004 - 20:26
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Image St Lo a écrit:
St Lo a écrit:
Bon, j'ai commencé un peu "Le Troisième policier

J'ai mis le temps (mais bon, j'avais plein de choses à faire ; et ça me rongeais de ne plus pouvoir lire), mais je l'ai fini ! Enfin !
(...)
Et il est question, dès le début quasiment, d'une cassette (boîte) noire. A la fin, on nous dit ce qu'elle est censée contenir (au début, c'est de l'argent) : Est-ce qu'il y en aurait sur l'île ?

Depuis, Ben nous a dit (enfin, à Locke) qu'il y avait une telle boîte sur l'île...



Autre chose. J'en ai déjà parlé ailleurs, mais sa place est bel et bien ici, même si on n'en a pas parlé effectivement dans la série. Je veux parler du livre de Clément Rosset Le Réel et son double.
[align=center]Image[/align]

A l'époque où je l'ai lu, je l'avais beaucoup aimé parce que malgré le fait que ça traite de la littérature, ça peut se rapporter à la réalité. Et, après l'épisode 5x11, on voit que ça se rapporte à Lost aussi.
Lien Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_R%C3%A9el_et_Son_Double

Wikipédia a écrit:
On le retrouve ainsi dans l'illusion oraculaire de la tragédie grecque. Henri Bergson soulignait déjà le lien entre la structure oraculaire et le thème du double[1]. Pour Clément Rosset, l'oracle, tel que celui prononcé dans l'Œdipe roi de Sophocle, ou celui de Sigismond dans La vie est un songe de Pedro Calderón de la Barca, ou encore celui du Vizir dans Ce soir à Samarcande de Jacques Deval, l'oracle donc n'est autre qu'une figure du destin dont la prédiction se réalise, mais d'une tout autre façon que celle attendue et imaginée. Celle qui est attendue ne se réalise pas mais prend figure de réalité. L'autre façon, celle qui est effective, réelle, apparait curieusement comme le double de la première, une usurpatrice : "l'autre c'est ce réel-ci, soit le double d'un autre réel qui serait lui le réel même, mais qui échappe toujours et dont on ne pourra jamais rien dire ni rien savoir".


Bref, quoi que l'on fasse le destin nous rattrapera. Pire, parfois c'est en croyant éviter ce qui doit arriver qu'on le déclenche (comme l'a fait Sayid, puis Jack en refusant de soigner Ben). C'est l'ironie du sort.

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MessagePosté: Mar 14 Avr 2009 - 09:05 
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Inscription: Mer 18 Mar 2009 - 09:13
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J'ai commencé à lire The Fountainhead d'Ayn Rand. C'est un livre que Sawyer lit dans l'épisode 12 de la saison 3. Hier j'ai lu un passage qui décrivait un des personnages du roman qui m'a beaucoup fait penser à Ben.

Citation:
Il agissait (...) avec l'assurance d'un homme qui a un plan, un plan mûrement réfléchi, élaboré dans les moindres détails et qui n'accorde qu'une attention amusée aux petites difficultés de la route.


Citation:
Pour arriver à la vertu dans son sens le plus absolu, disait Ellsworth Toohey, un homme doit être capable de prendre sur lui les crimes les plus immondes.


Citation:
Il se conduisait comme un snob, non pas comme un snob qui s'affiche, mais comme un être qui est snob avec naturel et ingénuité, tout en s'efforçant de ne pas l'être. Il était extrêmement poli, non pas à la manière d'un homme qui recherche les faveurs, mais comme quelqu'un qui en accorde.


Cette dernière citation me fait tout particulièrement penser à son attitude envers Kate dans A Tale of Two cities, quand il la "convie" pour prendre un petit déjeuner.


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MessagePosté: Lun 11 Mai 2009 - 09:15 
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Inscription: Mer 18 Mar 2009 - 09:13
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J'ai achevé la lecture de Prisonniers du temps de Michael Crichton qui traite de voyages dans le temps et au fil de la lecture j'ai pu relever plusieurs similitudes avec Lost.

Dans un premier temps la société qui gère ces voyages dans le temps se trouve dans un endroit qui s'appelle Black Rock.
Lors des premières expériences qu'ils ont pu faire ils ont découvert des "anomalies magnétiques".

Citation:
Ce que nou avons mis au point est une forme de voyage dans l'espace. Pour être précis nous utilisons la technologie quantique pour opérer un changement orthogonal de coordonnées dans le plurivers.
C'est aussi ce qui semble arriver à l'île, d'où le pendule pour la localiser.

Citation:
Everett prétendait que notre univers (...) n'était qu'un univers parmi une infinité d'autres existant côte à côte. (...) Chacun de ces univers se subdivisait constamment, de sorte qu'i y avait un univers où Hitler avait perdu la guerre et un autre où il l'avait gagnée.

Dans cette optique, il peut y avoir un univers où les Losties se crashent sur l'île et un où ils ne se crashent pas.

Lorsque les personnages sont projetés dans le passé il y a exactement le même procédé que les flashs dans Lost, à savoir un grand rayonnement lumineux, lumière blanche et pour certains des douleurs fulgurantes au niveau du crâne.


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MessagePosté: Mar 22 Sep 2009 - 09:05 
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Inscription: Mer 18 Mar 2009 - 09:13
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Voici un autre livre qui m'a fait penser un peu à Lost, du moins à une possible expication philosophique. Ce n'est que mon avis :wink:

Ce livre s'intitule La Résistance de Gemma Malley. C'est un roman pour adolescents, je précise que je suis enseignante et que j'aime lire ce genre de livre pour stimuler les pus jeunes à la lecture.

En voici quelques extraits :

Citation:
La Nature est notre ennemie. Elle l'a toujours été. L'homme n'était qu'un jouet enre ses mains, et elle frappait à sa guise : organismes rongés par le cancer, femmes mourant en couches, cataclysmes détruisant des villes entières... Tout cela était le don de la Nature (...) Elle n'est pas du côté des êtres humains.


Ici, je pense au cancer de Ben, aux problèmes de natalité sur l'île.

Citation:
Le cycle de la naissance, de la vie et de la mort avait engendré d'autres fardeaux pour l'Homme le renvoyant à un esclavage digne de celui du règne animal, sans aucun contrôle sur son propre avenir. D'ailleurs, l'Homme s'était si bien adapté à cet esclavage qu'il s'était créé lui-même d'autres maîtres à vénérer et à respecter, ces dieux qui imposaient leurs lois et leurs règles en parfaite contradiction avec la nature profonde de l'être humain. Principe "Une vie pour une autre".


Ici je pense à toutes les références mythologiques et bibliques que l'on peut trouver dans l'ile.

Citation:
Aucun de nous n'a le choix (...) On croit que oui, mais on se trompe.


Cela me fait penser au topic de Lostoukette sur les non-dits, effectivement il y a des questions de choix, mais en fait ils semblent être induits par d'autres et donc à la finale on n'a pas vraiment choisi.


Citation:
L'éternité n'a aucune valeur, que seul le présent compte et qu'il faut toujours agir en son âme et conscience.


Cela me fait penser à la discussion qu'ont eue Lostoukette, Deux fois Deux et Sawyer le Retour sur le fait que les Losties étaient perdus dans le temps.
Et le cas Desmond est intéressant dans ce concept car il semble être le seul à être toujours dans le présent même lorsqu'il voyage dans le temps dans "Flashs before your eyes" et "The Constant".


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MessagePosté: Mar 22 Sep 2009 - 10:50 
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^^ Super ! merci Sand ! C'est super ça. Et ça illustre parfaitement le concept :wink:
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MessagePosté: Mar 22 Sep 2009 - 20:49 
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Paire de menottes
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Sand > Je prefere celle là :
Citation:
L'éternité n'a aucune valeur, que seul le présent compte et qu'il faut toujours agir en son âme et conscience.

à celle là :
Citation:
Aucun de nous n'a le choix (...) On croit que oui, mais on se trompe.


mais peut etre est ce une question de circonstances.

Et j'aime bien les citations de The Fountainhead, bien que je ne les découvre que maintenant.

Sand a écrit:
Dans cette optique, il peut y avoir un univers où les Losties se crashent sur l'île et un où ils ne se crashent pas.


Il y a un livre passionnant sur le sujet : Le maître du haut château de Philip K. Dick : Deux réalités parallèles, deux visions de l'histoire radicalement opposées et une fin renversante.


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MessagePosté: Mer 23 Sep 2009 - 14:04 
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Image DeuxfoisDeux a écrit:
Il y a un livre passionnant sur le sujet : Le maître du haut château de Philip K. Dick : Deux réalités parallèles, deux visions de l'histoire radicalement opposées et une fin renversante.


Je l'ai mais je ne l'ai pas encore lu. Mais effectivement, au vu de la quatrième de couverture, il a l'air passionnant dans ce domaine.


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MessagePosté: Mar 06 Oct 2009 - 12:46 
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Voici un autre roman (toujours pour adolescents) où certaines phrases m'ont fait penser à Lost.

Ce livre est le troisième tome d'une trilogie : Phaenomen d'Erik L'Homme. Dans son livre il y a aussi des extraits de revues ou autres.

Citation:
C'est étrange comme le temps, que l'homme croit avoir enfermé dans toutes sortes de mécanismes d'horlogerie, reste une entité vaporeuse, intransigeante et illusoire! Une minute de bonheur et une minute de souffrance ont-elles la même durée? (...) C'est la vraie différence entre l'homme et ses dieux : un dieu a tout son temps pour exister. Il ne reste à l'homme, pour la même chose, qu'à se jeter follement dans le peu de temps qui lui est imparti...


Citation:
Est libre (...) l'homme qui connaît ses chaînes, qui s'efforce de les choisir le moins pesantes possible, et qui enfin en supporte le poids avec courage.


Citation:
D'où nous vient cette obssession, cette fascination pour les théories du complot qui fleurissent spontanément après chaque événement important? (...) D'un côté, il y a nos contemporains, dépassés par la course du monde, pour qui donner du sens aux événements devient un besoin vital. De l'autre se trouvent des manipulateurs aux visées lointaines ou immédiates, au-dessus de la morale et des lois pour parvenir à leurs fins...
Enquêtes occultes Kevin Brender.

Citation:
Le problème, c'est quà force d'avoir peur des manipulations, nous nous révélons incapables de choisir entre le vrai et le faux. Et si c'était ça, le stade ultime de la manipulation?
Enquêtes occultes Kevin Brender.

Les deux dernières citations me font beaucoup penser aux personnages de Ben et de Widmore. Les premières plus aux Losties qui ne savent plus trop quoi faire.


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MessagePosté: Mar 06 Oct 2009 - 13:28 
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"Philosophie en séries" :

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Un ouvrage de chez Ellipse, par Thibaut de Saint-Maurice qui explique les notions de philo par les séries télé.
Lost y représente la société.

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MessagePosté: Lun 19 Oct 2009 - 07:20 
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Localisation: Bensalem
Page 203 du Miroir de Cassandre, de Werber, il est un tout peit peu question de Lost.

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MessagePosté: Lun 30 Nov 2009 - 11:55 
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Fusée de détresse

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Un hors-série de l'hebdomadaire Le Point disponible en ce moment en librairie intitulé "Les gands textes de l'esprit anglais".

On y retrouve des extraits commentées d'oeuvres britanniques majeures articulés autour de 4 grands chapitres, représentant les grands axes ou thèmes: Pragmatisme et liberté, Tradition et transgression, L'imaginaire anglais, L'humour anglais.

Pa rapport à Lost, on y retrouve John Locke, Jeremy Bentham, Edmund Burke, David Hume, Jane Austen, entre autres.

D'habitude ces digests du Point sont bien faits et intéressants. Celui-ci ne déroge pas à la règle.

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Tentative de schéma pour éclaircir les mystères de Lost


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MessagePosté: Sam 06 Fév 2010 - 20:23 
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Razorback
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Localisation: Gironde
Dans le 6x01 apparaît le livre pour enfants Haroun et la mer des histoires (1990) de Salman Rushdie dont voici un résumé:

Citation:
Ainsi débute la fable : un jeune garçon nommé Haroun, désolé de constater due son père, conteur de son état, a perdu son inspiration, entreprend un long voyage à travers une contrée merveilleuse.Son ambition est de retrouver la source vive où naissent les histoires, afin de la sauvegarder. En chemin, il rencontre des créatures fabuleuses et inquiétantes - dont certaines, ennemies de l'imagination, entendent étouffer à jamais le pouvoir des créateurs d'histoires. Dans ce conte vibrant de fantaisie, d'inventivité et d'humour, Rushdie mêle avec art la rigueur du nonsense anglais à la richesse flamboyante du conte oriental.L'auteur l'a écrit pour son fils peu après la fatwa : c'est aussi un plaidoyer pour la liberté de l'imagination créative.


Je ne connais pas du tout les livres de cet auteur, et en cherchant un peu sur le net je trouve qu'ils comportent beaucoup d'éléments qui devraient vous intéresser.

Grimus (1975):

Citation:
Siècle après siècle, Aigle Errant, l'indien anoxa, est devenu un étranger en ce monde où les années sont si brèves, en ce monde où l'on meurt. Il lui faut partir et gagner l'île du Veau où résident les rares élus, ceux à qui un jour Sispy le magicien a fait don de la précieuse fiole jaune, les immortels. Avec eux, pense-t-il, il ira couler des jours éternels dans la ville de K. Mais Aigle Errant n'est pas le bienvenu : il veut traquer Grimus dont l'ombre énigmatique et inquiétante plane sur l'île. Grimus, un mythe, un fantôme, prétendent les habitants de K qui cherchent à nier son existence en plongeant dans une folie monomaniaque qui, seule, leur permet d'ignorer son Effet. Car l'Effet Grimus s'étend sans cesse, provoquant des éclipses temporelles aussi bien que des épidémies de Fièvre Dimensionnelle, la terrible Fièvre D qui libère les fantasmes et abat impitoyablement tous ceux qui doutent... Pendant ce temps, un Ouille-Nerg nommé Coâ observe et compte les points. Il vient d'une autre densimion. Très exactement de la planète Erret, celle qui tourne autour du Leilos. Un étrange Nirvesu.


Citation:
The story loosely follows Flapping Eagle, a young Indian who receives the gift of immortality after drinking a magic fluid. After drinking the fluid, Flapping Eagle wanders the earth for 777 years 7 months and 7 days, searching for his immortal sister and exploring identities before falling through a hole in the Mediterranean Sea. He arrives in a parallel dimension at the mystical Calf Island where those immortals who have tired of the world but are reluctant to give up their immortality exist in a static community under a subtle and sinister authority.


Les Versets sataniques (1988):


Citation:
Gibreel Farishta et Saladin Chamcha, deux acteurs indiens de Londres (un acteur vedette de Bollywood et un imitateur de voix) sont victimes de l'explosion de leur avion jumbo jet d'Air India, détourné par des pirates de l'air à 10 000 mau-dessus de la Manche et s'écrasent sur terre. Cette histoire fait référence à un réel acte de terrorisme, quand un Boeing 747 d'Air India explosa en 1985 - attentat que l'on suppose perpétré par le terrorisme sikh.Ils se retrouvent sur terre vivants, le premier dans la peau de l'archange Gabriel — Gibreel Farishta en urdu, représente l'archange Gabriel et par moments Mahomet lui-même. L'autre acteur revient sur terre sous les traits du diable, avec sabots, cornes et queue provocante. « Juste avant l'aube d'un matin d'hiver, aux alentours de la Nouvelle Année, deux hommes bien réels, de bonne constitution, tombèrent vivants d'une grande hauteur, neuf mille huit cent et deux mètres, au-dessus de la Manche, sans l'aide d'un quelconque parachute ou ailes ». Gibreel Farishta et Saladin sont miraculeusement sauvés et choisis comme les protagonistes d'une lutte du Bien contre le Mal. Dans la tradition islamique l'archange Gabriel « rapporta » le Coran directement de Dieu à Mahomet. Gibreel Farishta chante « Renaître à nouveau » lorsqu'il tombe des cieux, « mais d'abord vous avez à mourir ». « Hé mon gars ! » « Atterrir sur la terre ferme nécessite d'abord de savoir voler ».Ils engagent un dialogue autour de la lutte entre le bien et le mal, la foi et le doute, le moderne et l'antimoderne, l'Occident et l'islam.


Y a pas mal de thèmes lostiens là-dedans, nan ?
Je rappelle que je n'ai jamais lu un seul de ces romans. Si y a des connaisseurs... :concon:


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MessagePosté: Sam 06 Fév 2010 - 20:31 
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Merci ! je n'avais pas réussi à voir quel livre c'était !
C'était pas plutôt dans la 2ème partie ?

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MessagePosté: Sam 06 Fév 2010 - 20:38 
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Non c'est bien dans la première partie. Desmond le lit dans l'avion.


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MessagePosté: Sam 06 Fév 2010 - 20:39 
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Ah oui non, c'est vrai j'avais oublié... Je pensais au livre que trouve Hurley sous le mur qui protège le temple. Quelqu'un a vu ce que c'était ?

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