Je ne traduis pas ce genre de textes souvent, cut me some slack
# Follow the Phoenix.
Suivez le phoénix.
# To be touched by the light of Jacob is to awake anew. May night, and slumber, give way to a better tomorrow.
Être ébloui par la lumière de Jacob est une renaissance. Puissent la nuit et le sommeil offrir un meilleur lendemain.
# We've all lost so much. Jacob, weave the right path.
Nous avons tous perdu tant de choses. Jacob, "tisse" le bon chemin. (weave : tisser, tramer)
# Grant me respite, O kind Jacob, until my path back to you is opened.
Accorde moi du repos, Ô bon Jacob, jusqu'à ce que la voie qui me réorientera vers toi s'ouvre.
# Fate stands now upon the razor's edge.
Le destin réside sur la lame du rasoir.
# The joyful Festival of Bast begins this day. Oh, would that I were among the trees and beaches of Home, in the courtyard of our Temple.
Le joyeux festival de Bast (une déesse de la mythologie égyptienne) débute ce jours ci. Oh, si seulement j'étais parmi les arbres et les plages de chez nous, dans la cour de ton temple.
# Widmore stocks are down. Karma or bad economy?
Les actions Widmore chutent. Karma ou mauvaise gestion économique ?
# Your body is the temple of knowledge. O Jacob, grant me wisdom as I walk amongst the Oneiroi.
Ton corps est le temple de la connaissance. Ô Jacob, accorde moi de la sagesse quand je marche parmi les oneiroi. (divinité personifiant les rêves, dans la mythologie grecque).
# "There is a time for many words, and there is also a time for sleep." Hear, O Jacob, and bless me in rest.
"Il y a un temps pour plusieurs mots, et il y a un temps pour le sommeil". Ô Jacob, écoute moi et accorde moi le repos.
# The unclean world Without is at the mercy of miserable Fate. Let my work here be done. O dear Jacob, make it so.
Le monde extérieur impur est à la mercie d'un destin triste. Permets moi de faire mon travail ici. Ô cher Jacob, permets le moi.
# I yearn everyday to return to my blessed home. I understand my work here is important, but to be Without is to dwell in sorrow.
Je brule d'envie, tous les jours, de retourner dans ma chère maison (ou maison bénie). Je comprends que j'ai beaucoup de travail à faire, mais en être séparé, c'est s'enfoncer dans la tristesse.